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77. Jésus marche sur la mer, le soir venu

Matthieu

Marc

Jean

14,22-33

6,45-52

6,16-21

   

Le soir venu,

Et aussitôt il obligea

Et aussitôt il obligea

 

les

   

         disciples

ses disciples

ses disciples descen-

   

dirent au bord de la

   

mer, et

à remonter dans la

à remonter dans la

          mont-

   

ant en

barque et à

barque et à prendre

barque,

   

ils se dirigèrent vers

   

Capharnaüm, sur

le    devan-

les devants vers

 
 

Bethsaïde,

 

cer de l’autre

 

                l’autre rive.

côté, pendant qu’

             pendant que lui-

 
 

même

 

il renverrait l-

    renverrait la

 

es foules. Et quand il

       foule.

 
 

Après

 

les eut renvoyées,

l’

 
 

avoir congédiée,

 

il

il s’en alla sur

 

gravit la montagne, à

                 la montagne

 

l’écart, pour prier. Le

                   pour prier. Le

 

soir venu, il était là,

soir venu,

 

seul. La barque,

               la barque était

 

elle, se trouvait déjà

   
   

Il faisait déjà nuit, et

   

Jésus ne les avait pas

   

encore rejoints ;

au milieu de la mer,

au milieu de la mer, et

 
 

lui, seul, à terre. Les

 

harcelée par les

   

vagues,

   
 

voyant s’épuiser à

 

                  car le vent

ramer, car le vent leur

                            le vent

était contraire.

était contraire, vers

 
   

soufflait avec force,

   

la mer se soulevait.

   

Ils avaient ramé

   

environ 25 ou 30

   

stades

A la 4 e veille de la

     la 4 e veille de la

 

nuit, il alla

nuit  il

 

              vers eux en

vient vers eux en

 

marchant sur la mer.

marchant sur la mer,

 
 

et il allait les dépasser.

 

Ceux-ci, le voyant

Ceux-ci, le voyant

 
   

quand ils aperçoivent

   

Jésus s’approcher

   

de la barque en

qui marchait

         march-

          marcha-

   

nt

       sur la mer, les

er sur la mer,

       sur la mer.

disciples furent

   

troublés :

   

                          « C’

crurent que c’était

 

est un fantôme »,

         un fantôme

 

disaient-ils, et pris de

                               et

 

frayeur

   

  ils

 

Ils eurent peur.

se mirent à

   

                                      crier.

poussèrent des cri-

 
 

s, car tous l’avaient vu

 
 

et avaient été

 

                       Mais

troublés. Mais lui

                       Mais

aussitôt Jésus leur

aussitôt                 leur

 

adressa ces mots :

   
 

parla et

 

                         « Rassurez-

    leur dit : « Rassurez-

il leur dit :

vous, c’est moi, n’ayez

vous, c’est moi, n’ayez

           « C’est moi, n’ayez

pas peur. » Sur quoi,

pas peur. »

pas peur. »

Pierre lui répondit :

   

« Seigneur, si c’est

   

bien toi, donne-moi

   

l’ordre de venir à toi

   

sur les eaux. » -

   

« Viens », dit Jésus. Et

   

Pierre, descendant de

   

la barque, se mit à

   

marcher sur les eaux

   

en venant à Jésus.

   

Mais, voyant la

   

violence du vent, il

   

prit peur et, commen-

   

çant à couler, il s’

   

écria : « Seigneur,

   

sauve-moi ! » Aussitôt

   

Jésus tendit la main

   

et le saisit, en lui

   

disant : « Homme de

   

peu de foi, pourquoi

   

as-tu douté ? » Et 

   

quand ils furent

 

                Ils

   

allaient le prendre

                 montés

Puis il mont-

 
 

a auprès d’eux

 

dans la barque,

dans la barque et

dans la barque,

le vent tomba. Ceux

le vent tomba.

 

qui étaient dans la

   

barque se proster-

   

nèrent devant lui, en

   

disant : « Vraiment,

   

tu es Fils de Dieu ! »

   
 

Et ils étaient intéri-

 
 

eurement au comble

 
 

de la stupeur, car ils

 
 

n’avaient pas compris

 
 

le miracle des pains,

 
 

mais leur esprit était

 
 

fermé.

 
   

mais la barque

   

aussitôt toucha terre

   

au lieu où ils se

   

rendaient.

Matthieu

Marc

Jean

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