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72 (+29). Visite à Nazareth

Matthieu

Marc

Luc

13,53-58

6,1-6 a

[4,16-30]

Et il arriva, quand

   

Jésus eut achevé ces

   

paraboles, qu’il quitta

   

ces lieux ;  et

   

                                               s’

Etant parti de là, il se

                                         [Il

étant rendu dans sa

              rend     dans sa

 
   

vint à Nazara où il

   

avait été élevé, entra,

   

selon sa coutume

patrie,

patrie, et ses disciples

 
 

l’accompagnent. Le

                                            le

 

                   sabbat

jour du sabbat,

                il

venu, il se mit à

 

enseignait les gens

enseign-

 

       dans l-

er dans la

       dans la

eur synagogue,

         synagogue  et

          synagogue, et

   

se leva pour faire la

   

lecture. On lui

   

présenta le livre du

   

prophète Isaïe et,

   

déroulant le livre, il

   

trouva le passage où il

   

est écrit : L’Esprit du

   

Seigneur est sur moi,

   

parce qu’il m’a

   

consacré par l’onction.

   

Il m’a envoyé porter la

   

bonne nouvelle aux

   

pauvres, annoncer

   

aux captifs la

   

délivrance et aux

   

aveugles le retour à la

   

vue, rendre la liberté

   

aux opprimés,

   

proclamer une année

   

de grâce du Seigneur.

   

Il replia le livre, le

   

rendit au servant et s’

   

assit. Tous dans la

   

synagogue avaient les

   

yeux fixés sur lui.

   

Alors il se mit à leur

   

dire : « Aujourd’hui s’

   

accomplit à vos

   

oreilles ce passage de l’

   

Ecriture. »

 

le grand nombre en l’

 

de telle façon qu’ils

   
 

entendant

 
   

Et tous lui rendaient

                                    étaient

                                    étaient

témoignage et étaient

   

en admiration devant

   

les paroles pleines de

frappés d’étonnement :

frappés d’étonnement

 
   

grâce qui sortaient de

 

                             et

sa bouche. Et ils

                        « D’où

disaient : « D’où cela

disaient :

lui vien-

lui vient-il ? Et qu’est-

 

nent, disaient-ils,

   

                 cette sagesse

ce que cette sagesse qui

 

                                        et ces

lui a été donnée et ces

 

                   miracles ?

grands miracles qui

 
 

se font par ses mains ?

 

  N’est-ce pas là le fils

  N’est-ce pas là le

« N’est-ce pas là le fils

(62)

 

(62)

du charpentier ?

       charpentier, le fils

d-

   

e Joseph ? »

N’a-t-il pas pour mère

   

la nommée       Marie,

                            de Marie, le

 

et pour frères

                   frère   de

 

Jacques,       Jose-

Jacques, de Joset, de

 
 

Jude et de

 

ph, Simon et Jude ?

         Simon ?

 

Et ses sœurs ne sont-

Et ses sœurs ne sont-

 

elles pas toutes

elles pas

 

       parmi nous ? D’où

ici parmi nous ? »

 

lui vient donc tout

   

cela ? » Et ils étaient

                  Et ils

 

       choqu-

se choquaient sur son

 

és à son sujet.

   
 

compte. Et

 

Mais (63) Jésus

                           Jésus

Mais (63)

    leur di-

    leur disait :

il leur

   

répondit : « A

   

coup sûr, vous allez me

   

citer le dicton :

   

Médecin, guéris-toi toi-

   

même. Tout ce qu’on

   

nous a dit s’être passé

   

à Capharnaüm, fais-le

   

de même ici dans ta

   

patrie. » Puis il

   

ajouta : « En vérité, je

   

vous le dis, auc-

t : « Un prophète

      « Un prophète

           un prophète

n’est méprisé que

n’est méprisé que

n’est

                        dans sa

                         dans sa

bien reçu dans sa

patrie

patrie,

patrie. Assurément,

                                         et

dans sa parenté et

 

dans sa maison. » Et il

dans sa maison. » Et il

 

ne          f-

ne put faire

 

it pas là beaucoup de

               là

 

                 miracles,

aucun miracle,

 
 

si ce n’est de guérir

 
 

quelques malades en

 
 

leur imposant les

 
 

mains, et il s’étonnait

 

à cause de leur manque

                   de leur manque

 

de foi.

de foi.

                                       je vous

   

le dis, il y avait

   

beaucoup de veuves en

   

Israël aux jours d’Elie,

   

lorsque durant trois

   

ans et six mois le ciel

   

demeura fermé et qu’

   

une grande famine

   

sévit sur tout le pays ;

   

pourtant ce n’est à

   

aucune d’entre elles

   

que fut envoyé Elie,

   

mais bien à une veuve

   

de Sarepta, au pays

   

de Sidon. Il y avait

   

aussi beaucoup de

   

lépreux en Israël lors

   

du prophète Elisée ;

   

pourtant aucun d’eux

   

ne fut guéri, mais bien

   

Naaman, le syrien. » A

   

ces mots, tous dans la

   

synagogue furent

   

remplis de fureur. Et,

   

se levant, ils le

   

poussèrent hors de la

   

ville et le conduisirent

   

jusqu’à un escarpe-

   

ment de la colline sur

   

laquelle leur ville était

   

bâtie, pour l’en

   

précipiter. Mais lui,

   

passant au milieu d’

   

eux, allait son

   

chemin…]

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