Matthieu 13,53-58 ; Marc 6,1-6 a
Et il arriva, quand Jésus eut achevé ces paraboles, qu’il quitta ces lieux. Etant parti de là, il se rend dans sa patrie et ses disciples l’accompagnent. Le sabbat venu, il se mit à enseigner les gens dans leur synagogue, de telle façon que le grand nombre en l’entendant étaient frappés d’étonnement et disaient : « D’où cela lui vient-il ? Et qu’est-ce que cette sagesse qui lui a été donnée et ces grands miracles qui se font par ses mains. D’où lui viennent, disaient-ils, cette sagesse et ces miracles ? N’est-ce pas là le charpentier, le fils du charpentier ? N’a-t-il pas pour mère la nommée Marie et pour frères Jacques, Joseph (Joset), Simon et Jude ? Et ses sœurs ne sont-elles pas toutes ici parmi nous ? D’où lui vient donc tout cela ? » Et ils étaient choqués sur son compte. Mais Jésus leur disait : « Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie, dans sa parenté et dans sa maison. » Et il ne put faire là aucun miracle, si ce n’est guérir quelques malades en leur imposant les mains, et il s’étonnait de leur manque de foi. Il ne fit pas là beaucoup de miracles à cause de leur manque de foi. |