77. Jésus marche sur la mer, le soir venu
Matthieu 14,22-33 : Et aussitôt il obligea ses disciples à remonter dans la barque et à le devancer de l’autre côté, pendant qu’il renverrait les foules. Et quand il les eut renvoyées, il gravit la montagne, à l’écart, pour prier. Le soir venu, il était là, seul. La barque, elle, se trouvait déjà au milieu de la mer, harcelée par les vagues, car le vent était contraire. A la quatrième veille de la nuit, il alla vers eux en marchant sur la mer. Quand ils le virent qui marchait sur la mer, les disciples furent troublés : « C’est un fantôme », disaient-ils, et pris de peur ils se mirent à crier. Mais aussitôt Jésus leur adressa ces mots : « Rassurez-vous, c’est moi, n’ayez pas peur. » Sur quoi, Pierre lui répondit : « Seigneur, si c’est bien toi, donne-moi l’ordre de venir à toi sur les eaux. » -- « Viens », dit Jésus. Et Pierre, descendant de la barque, se mit à marcher sur les eaux en venant vers Jésus. Mais, voyant la violence du vent, il prit peur et, commençant à couler, il s’écria : « Seigneur, sauve-moi ! » Aussitôt Jésus tendit la main et le saisit, en lui disant : « Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté ? » Et quand ils furent montés dans la barque, le vent tomba. Ceux qui étaient dans la barque se prosternèrent devant lui, en disant : « Vraiment, tu es Fils de Dieu ! » |
Marc 6,45-52 : Et aussitôt il obligea ses disciples à remonter dans la barque et à prendre les devants vers Bethsaïde, pendant que lui-même renverrait la foule. Après l’avoir congédiée, il s’en alla sur la montagne pour prier. Le soir venu, la barque était au milieu de la mer, et lui, seul, à terre. Les voyants s’épuiser à ramer, car le vent était contraire, vers la quatrième veille de la nuit il vient vers eux en marchant sur la mer, et il allait les dépasser. Ceux-ci, le voyant marcher sur la mer, crurent que c’était un fantôme et poussèrent des cris, car tous l’avaient vu et avaient été troublés. Mais lui aussitôt leur parla et leur dit : « Rassurez-vous, c’est moi n’ayez pas peur. » Puis il monta auprès d’eux dans la barque et le vent tomba. Et ils étaient intérieurement au comble de la stupeur, car ils n’avaient pas compris le miracle des pains, mais leur esprit était fermé. |
Jean 6,16-21 : Le soir venu, les disciples descendirent au bord de la mer, et, montant en barque, ils se dirigèrent vers Capharnaüm, sur l’autre rive. Il faisait déjà nuit, et Jésus ne les avait pas encore rejoints ; le vent soufflait avec force, la mer se soulevait. Ils avaient ramé environ vingt-cinq ou trente stades quand ils voient Jésus s’approcher de la barque en marchant sur la mer. Ils eurent peur. Mais il leur dit : « C’est moi. N’ayez pas peur. » Ils allaient le prendre dans la barque, mais la barque aussitôt toucha terre au lieu où ils se rendaient. |