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198. Discours eschatologique. Au mont des Oliviers

Matthieu 24,1-14 :

Jésus sortit du Temple et, comme il s’éloignait, ses disciples le rejoignirent pour lui faire remarquer les constructions du Temple. Mais il leur répondit : « Vous voyez tout cela, n’est-ce pas ? En vérité je vous le dis, il n’en restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit. » Et, comme il s’était assis sur le mont des Oliviers, les disciples vinrent lui demander en particulier : « Dis-nous quand cela aura lieu, et quel sera le signe de ton avènement et de la fin du monde. »

Et Jésus leur répondit : « Prenez garde qu’on ne vous abuse. Car il en viendra beaucoup sous mon nom, qui diront : ‘C’est moi le Christ’, et ils abuseront bien des gens. Vous aurez aussi à entendre parler de guerres et de rumeurs de guerre ; ne vous laissez pas alarmer : car il faut que tout cela arrive, mais ce n’est pas encore la fin. On se dressera, en effet, nation contre nation et royaume contre royaume. Il y aura çà et là des famines et des tremblements de terre. Et tout cela ne fera que commencer les douleurs de l’enfantement.

« Alors on vous livrera aux souffrances et à la mort ; vous serez haïs de tous les peuples à cause de mon Nom. Et alors beaucoup succomberont ; ce seront des trahisons et des haines intestines. Des faux prophètes surgiront en nombre et abuseront bien des gens. Par suite de l’iniquité croissante, l’amour se refroidira chez le grand nombre. Mais celui qui aura tenu bon jusqu’au bout, celui-là sera sauvé.

« Cette Bonne Nouvelle du Royaume sera proclamée dans le monde entier, en témoignage à la face de tous les peuples. Et alors viendra la fin. »

(Matthieu 10,17-22) :

« Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux sanhédrins et vous flagelleront dans leurs synagogues ; vous serez traînés devant des gouverneurs et des rois, à cause de moi, pour rendre témoignage en face d’eux et des païens. Mais quand on vous livrera, ne cherchez pas avec inquiétude comment parler et que dire : ce que vous aurez à dire vous sera donné sur le moment, car ce n’est pas vous qui parlerez, c’est l’Esprit de votre Père qui parlera en vous.

« Le frère livrera son frère à la mort, et le père son enfant ; les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mourir. Et vous serez haïs de tous à cause de mon Nom, mais celui qui aura tenu jusqu’au bout celui-là sera sauvé. »

Matthieu 24,15-25 :

« Lors donc que vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, installée dans le saint lieu (que le lecteur comprenne !), alors que ceux qui seront en Judée s’enfuient dans les montagnes, que celui qui sera sur la terrasse ne descende pas dans sa maison pour prendre ses affaires, et que celui qui sera aux champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau ! Malheur à celles qui seront enceintes ou qui allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que votre fuite ne tombe pas en hiver, ni un sabbat. Car il y aura alors une grande détresse, telle qu’il n’y en a pas eu depuis le commencement du monde jusqu’à ce jour, et qu’il n’y en aura jamais plus. Et si ces jours-là n’avaient pas été abrégés, nul n'aurait eu la vie sauve ; mais à cause des élus, ils seront abrégés ces jours-là.

« Alors si l’on vous dit : ‘Tenez, voici le Christ’, ou : ‘Le voilà’, n’en croyez rien. Il surgira, en effet, des faux Christs et des faux prophètes, qui produiront des signes et des prodiges considérables, capables d’abuser, si possible, même les élus. Ainsi vous voilà prévenus. »

Matthieu 24,29-36 :

« Aussitôt après la détresse de ces jours-là, le soleil s’obscurcira, la lune perdra son éclat, les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées. Et alors apparaîtra dans le ciel le signe du Fils de l’homme ; et alors toutes les races de la terre se frapperont la poitrine ; et l’on verra le Fils de l’homme venir sur les nuées du ciel avec puissance et grande gloire. Et il enverra ses anges avec une trompette sonore pour rassembler ses élus des quatre coins de l’horizon, d’un bout des cieux à l’autre.

« Du figuier apprenez cette parabole. Dès que sa ramure devient flexible et que ses feuilles poussent, vous vous rendez compte que l’été est proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez tout cela, rendez-vous compte qu’Il est proche, aux portes. En vérité je vous le dis, cette génération ne passera pas que tout cela ne soit arrivé. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. Quant à la date de ce jour, et à l'heure, personne ne les connaît, ni les anges des cieux, ni le Fils, personne que le Père seul. »

Matthieu 24,42 :

« Veillez donc, car vous ne savez pas quel jour va venir votre Maître. »

Matthieu 25,1-46 :

« Alors il en sera du Royaume des Cieux comme de dix vierges qui s’en allèrent, munies de leurs lampes, à la rencontre de l’époux. Or cinq d’entre elles étaient sottes et cinq étaient sensées. Les sottes, en effet, prirent leurs lampes, mais sans se munir d’huile ; tandis que les sensées, en même temps que leurs lampes, prirent de l’huile dans des fioles. Comme l’époux se faisait attendre, elles s’assoupirent toutes et s’endormirent. Mais à minuit un cri retentit : ‘Voici l’époux ! sortez à sa rencontre !’ Alors toutes ces vierges se réveillèrent et apprêtèrent leurs lampes. Et les sottes de dire aux sensées : ‘Donnez-nous de votre huile car nos lampes s’éteignent.’ Mais celles-ci leur répondirent : ‘Il n’y en aurait sans doute pas assez pour nous et pour vous ; allez plutôt chez lez marchands et achetez-en pour vous.’ Elles étaient parties en acheter quand arriva l’époux : celles qui étaient prêtes entrèrent avec lui dans la salle des noces, et la porte se referma. Finalement les autres vierges arrivèrent aussi et dirent : ‘Seigneur, Seigneur, ouvre-nous !’ Mais il répondit : ‘En vérité je vous le dis, je ne vous connais pas.’ Veillez donc, car vous ne savez ni l’heure ni le jour. 

« C’est comme un homme qui, partant pour l’étranger, appela ses serviteurs et leur confia sa fortune. A l’un il remit cinq talents, deux à un autre, un seul à un troisième, à chacun selon ses capacités, et puis il partit. Aussitôt celui qui avait reçu les cinq talents alla les faire produire et en gagna cinq autres. Pareillement celui qui en avait reçu deux en gagna deux autres. Mais celui qui n’en avait reçu qu’un s’en alla faire un trou en terre et enfouit l’argent de son maître. Après un long délai, le maître de ces serviteurs arrive et il règle ses comptes avec eux. Celui qui avait reçu les cinq talents s’avança et présenta cinq autres talents : ‘Seigneur, dit-il, tu m’as confié cinq talents : voici cinq autres talents que j’ai gagnés.’ -- ‘C’est bien, serviteur bon et fidèle, lui dit son maître, en peu de choses tu as été fidèle, sur beaucoup je t’établirai ; entre dans la joie de ton seigneur.’ Vint ensuite celui qui avait reçu deux talents : ‘Seigneur, dit-il, tu m’as confié deux talents : voici deux autres talents que j’ai gagnés.’ -- ‘C’est bien, serviteur bon et fidèle, lui dit son maître, en peu de choses tu as été fidèle, sur beaucoup je t’établirai ; entre dans la joie de ton seigneur.’ Vint enfin celui qui détenait un seul talent : ‘Seigneur, dit-il, j’ai appris à te connaître pour un homme âpre au gain : tu moissonnes où tu n’a pas semé, et tu ramasses où tu n’a pas répandu. Aussi, pris de peur, je suis allé enfouir ton talent dans la terre : le voici, tu as ton bien.’ Mais son maître lui répondit : ‘Serviteur mauvais et paresseux ! tu savais que je moissonne où je n’ai pas semé, et que je ramasse où je n’ai pas répandu ? Eh bien ! tu aurais dû placer mon argent chez les banquiers, et à mon retour j’aurais recouvré mon bien avec un intérêt. Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui a les dix talents. Car à tout homme qui a, l’on donnera et il aura du surplus ; mais à celui qui n’a pas, on enlèvera même ce qu’il a. Et ce propre à rien de serviteur, jetez-le dehors dans les ténèbres : là seront les pleurs et les grincements de dents.’

« Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, escorté de tous les anges, alors il prendra place sur son trône de gloire. Devant lui seront rassemblées toutes les nations, et il séparera les gens les uns des autres, tout comme le berger sépare les brebis des boucs. Il placera les brebis à sa droite, et les boucs à sa gauche. Alors le Roi dira à ceux de droite : ‘Venez, les bénis de mon Père, recevez en héritage le Royaume qui vous a été préparé depuis la fondation du monde. Car j’ai eu faim et vous m’avez donné à manger, j’ai eu soif et vous m’avez donné à boire, j’étais un étranger et vous m’avez accueilli, nu e-t vous m’avez vêtu, malade et vous m’avez visité, prisonnier et vous êtes venus me voir.’ Alors les justes lui répondront : ‘Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé et de te nourrir, assoiffé et de te désaltérer, étranger et de t’accueillir, nu et de te vêtir, malade ou prisonnier et de venir te voir ?’ Et le Roi leur fera cette réponse : ‘En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous l’avez fait à l’un de ces plus petits de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait.’ Alors il dira à ceux de gauche : ‘Allez loin de moi, maudits, dans le feu éternel qui a été préparé pour le Diable et ses anges. Car j’ai eu faim et vous ne m’avez pas donné à manger, j’ai eu soif et vous ne m’avez pas donné à boire, j’étais un étranger et vous ne m’avez pas accueilli, nu et vous ne m’avez pas vêtu, malade et prisonnier et vous ne m’avez pas visité.’ Alors ceux-ci lui demanderont à leur tour : ‘Seigneur, quand nous est-il arrivé de te voir affamé ou assoiffé, étranger ou nu, malade ou prisonnier, et de ne te point secourir ?’ Alors il leur répondra : ‘En vérité je vous le dis, dans la mesure où vous ne l’avez pas fait à l’un de ces plus petits, à moi non plus vous ne l’avez pas fait.’ Et ils s’en iront, ceux-ci à une peine éternelle, et les justes à la vie éternelle. »

Marc 13,1-37 :

Comme il sortait du Temple, un de ses disciples lui dit : « Maître, regarde, quelles pierres ! quelles constructions ! » Et Jésus lui dit : « Tu vois ces grandes constructions ? Il n’en restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit. »

Et comme il était assis sur le mont des Oliviers en face du Temple, Pierre, Jacques, Jean et André l’interrogèrent en particulier. « Dis-nous quand cela aura lieu et quel sera le signe que tout cela va s’accomplir. »

Alors Jésus se mit à leur dire : « Prenez garde qu’on ne vous abuse. Il en viendra beaucoup sous mon nom, qui diront : ‘C’est moi’, et ils abuseront bien des gens. Quand vous entendrez parler de guerres et de rumeurs de guerre, ne vous alarmez pas : il faut que cela arrive, mais ce ne sera pas encore la fin. On se dressera, en effet, nation contre nation, et royaume contre royaume. Il y aura çà et là des tremblements de terre, il y aura des famines. Ce sera le commencement des douleurs de l’enfantement.

« Soyez sur vos gardes. On vous livrera aux sanhédrins, vous serez battus de verges dans les synagogues et vous comparaîtrez devant des gouverneurs et des rois, à cause de moi, pour rendre témoignage devant eux. Car il faut d’abord que la Bonne Nouvelle soit proclamée à toutes les nations.

« Et quand on vous emmènera pour vous livrer, ne vous préoccupez pas de ce que vous direz, mais dites ce qui vous sera donné sur le moment : car ce n’est pas vous qui parlerez, mais l’Esprit Saint. Le frère livrera son frère à la mort et le père son enfant, et les enfants se dresseront contre leurs parents et les feront mourir. Et vous serez haïs de tous à cause de mon Nom, mais celui qui aura tenu bon jusqu’au bout, celui-là sera sauvé.

« Lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, installée, là où elle ne doit pas être (que le lecteur comprenne !), alors que ceux qui seront en Judée s’enfuient dans les montagnes ; que celui qui sera sur la terrasse ne descende pas rentrer dans sa maison et prendre ses affaires ; et que celui qui sera aux champs ne retourne pas en arrière pour prendre son manteau. Malheur à celles qui seront enceintes ou allaiteront en ces jours-là ! Priez pour que cela ne tombe pas en hiver. Car en ces jours-là il y aura une détresse telle qu’il n’y en a pas eu de pareille depuis le commencement où Dieu a créé le monde jusqu’à ce jour, et qu’il n’y en aura jamais plus. Et si le Seigneur n’avait abrégé ces jours, nul n’aurait eu la vie sauve ; mais à cause des élus qu’il a choisis, il a abrégé ces jours. Alors si l’on vous dit : ‘Tenez, voici le Christ’ ou ‘Tenez, le voilà’, n’en croyez rien. Il surgira, en effet, des faux Christs et des faux prophètes qui opèreront des signes et des prodiges pour abuser, si possible, les élus. Pour vous, soyez en garde : vous voilà prévenus de tout.

« Mais en ces jours-là, après cette détresse, le soleil s’obscurcira, la lune perdra son éclat, les étoiles se mettront à tomber du ciel et les puissances qui sont dans les cieux seront ébranlées. Et alors on verra le Fils de l’homme venir dans les nuées avec grande puissance et gloire. Et alors il enverra les anges pour rassembler ses élus, des quatre vents, de l’extrémité de la terre à l’extrémité du ciel.

« Du figuier apprenez cette parabole. Dès que sa ramure devient flexible et que ses feuilles poussent, vous vous rendez compte que l’été est proche. De même, vous aussi, lorsque vous verrez cela arriver, rendez-vous compte qu’il est proche, aux portes. En vérité je vous le dis, cette génération ne passera pas que tout cela ne soit arrivé. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.

« Quant à la date de ce jour, ou à l’heure, personne ne les connaît, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, personne que le Père. 

« Soyez sur vos gardes, veillez, car vous ne savez pas quand ce sera le moment. Il en sera comme d’un homme parti en voyage : il a quitté sa maison, tout remis au soin de ses serviteurs, assigné à chacun sa tâche, et au portier il a recommandé de veiller. Veillez donc, car vous ne savez pas quand le maître de la maison viendra, le soir, à minuit, au chant du coq ou le matin, de peur que, venant à l’improviste, il ne vous trouve endormis. Et ce que je vous dis à vous, je le dis à tous : veillez ! »

Luc 21, 5-36 :

Comme certains disaient du Temple qu’il était orné de belles pierres et d’offrandes votives, il dit : « De tout ce que vous contemplez, des jours viendront où il ne restera pas pierre sur pierre : tout sera détruit. » Ils lui demandèrent alors : « Maître, quand donc cela aura-t-il lieu, et quel sera le signe que cela va arriver ? »

Il répondit : « Prenez garde de ne pas vous laisser abuser, car ils en viendra beaucoup sous mon nom, qui diront : ‘C’est moi !’, et encore : ‘Le temps est tout proche.’ Ne vous mettez pas à leur suite. Quand vous entendrez parler de guerres et de bouleversements, n’allez pas vous effrayer ; il faut que cela arrive d’abord, mais ce ne sera pas de sitôt la fin. » Puis il leur dit : « On se dressera nation contre nation, royaume contre royaume. Il y aura de grands tremblements de terre et çà et là des pestes et des famines ; il y aura aussi des phénomènes effrayants et dans le ciel de grands signes.

« Mais avant tout cela, on portera la main sur vous, on vous persécutera, on vous livrera aux synagogues et aux prisons, on vous traduira devant des rois et des gouverneurs à cause de mon Nom, et cela vous permettra de témoigner. Mettez-vous bien dans l’esprit que vous n’avez pas à préparer votre défense : car je vous donnerai moi-même un langage et une sagesse, à quoi nul de vos adversaires ne pourra résister ni contredire. Vous serez livrés même par vos père et mère, par vos frères, vos proches, vos amis ; on fera mourir plusieurs d’entre vous, et vous serez haïs de tous à cause de mon Nom. Mais pas un cheveu de votre tête ne périra. Vous sauverez vos vies par votre constance ! 

« Mais quand vous verrez Jérusalem investie par les armées, rendez-vous compte que sa dévastation est toute proche. Alors, que ceux qui seront en Judée s’enfuient dans les montagnes, que ceux qui seront à l’intérieur de la ville s’en éloignent, et que ceux qui seront dans les campagnes n’y rentrent pas ; car ce seront des jours de châtiment, où tout ce qui a été écrit devra s’accomplir. Malheur à celles qui seront enceintes ou qui allaiteront en ces jours-là !

« Il y aura en effet grande détresse dans le pays et colère contre ce peuple. Ils seront passés au fil de l’épée, emmenés captifs dans toutes les nations, et Jérusalem demeurera foulée aux pieds par des païens jusqu’à ce que soient révolus les temps des païens.

« Et il y aura des signes dans le soleil, la lune et les étoiles. Sur la terre les nations seront dans l’angoisse, inquiètes du fracas de la mer et des flots ; les hommes mourront de frayeur, dans l’attente de ce qui menacera le monde, car les puissances des cieux seront ébranlées. Et alors on verra le Fils de l’homme venir dans une nuée avec puissance et grande gloire. Lorsque cela commencera d’arriver, redressez-vous et relevez la tête, car votre délivrance est proche. »

Et il leur dit une parabole : « Voyez le figuier et les autres arbres. Dès qu’ils bourgeonnent, vous vous rendez compte, en les regardant, que désormais l’été est proche. De même vous aussi, lorsque vous verrez cela arriver, rendez-vous compte que le Royaume de Dieu est proche. En vérité, je vous le dis, cette génération ne passera pas que tout ne soit arrivé. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.

« Tenez-vous sur vos gardes, de peur que vos cœurs ne s’appesantissent dans la débauche, l’ivrognerie, les soucis de la vie, et que ce Jour-là ne fonde soudain sur vous comme un filet ; car il s’abattra sur tous ceux qui habitent la surface de la terre entière. Veillez donc et priez en tout temps, afin d’avoir la force d’échapper à ce qui doit arriver, et de paraître avec assurance devant le Fils de l’homme. »

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