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192. L’impôt dû à César

Matthieu 22,15-16 a :

Alors les Pharisiens allèrent se concerter en vue de le surprendre en parole ; et ils lui envoient leurs disciples accompagnés des Hérodiens, pour lui dire : « Maître, nous savons que tu es franc et que

Matthieu 22,16 c :

« sans te préoccuper de qui que ce soit, car tu ne regardes pas au rang des personnes. »

(Matthieu 22,16 b) :

« tu enseignes la voie de Dieu avec franchise, »

Matthieu 22,17-22 :

« Dis-nous donc ton avis : est-il permis ou non de payer l’impôt à César ? » Mais Jésus connaissant leur perversité, riposta : « Hypocrites ! pourquoi me tendez-vous un piège ? Faites-moi voir l’argent de l’impôt. » Ils lui présentèrent un denier. Et il leur dit : « De qui est l’effigie que voici ? et la légende ? » -- « De César », répondent-ils. Alors il leur dit : « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » A ces mots ils furent tout surpris et, le laissant, ils s’en allèrent.

Marc 12,13-17 :

Ils lui envoient alors quelques-uns des Pharisiens et des Hérodiens pour le prendre au piège dans sa parole. Ils viennent et lui disent : « Maître, nous savons que tu es franc et que tu ne te préoccupes pas de qui que ce soit ; car tu ne regardes pas au rang des personnes, mais tu enseignes en toute franchise la voie de Dieu. Est-il permis ou non de payer l’impôt à César ? Devons-nous payer, oui ou non ? » Mais lui, sachant leur hypocrisie, leur dit : « Pourquoi me tendez-vous un piège ? Apportez-moi un denier, que je le voie. » Ils lui en apportèrent un et il leur demanda : « De qui est l’effigie que voici ? Et la légende ? » Ils lui répondirent : « De César. » Alors Jésus leur dit : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu. » Et ils étaient fort surpris à son sujet.

Luc 20,20-26 :

Ils se mirent alors aux aguets et lui envoyèrent des espions. Ceux-ci jouèrent les justes pour prendre en défaut sa parole, afin de le livrer au pouvoir et à l’autorité du gouverneur. Ils lui posèrent donc cette question : « Maître, nous savons que tu parles et enseignes en toute droiture, que tu ne tiens pas compte des personnes, mais que tu enseignes en toute franchise la voie de Dieu. Nous est-il permis ou non de payer le tribut à César ? » Mais, pénétrant leur astuce, il leur dit : « Montrez-moi un denier. De qui porte-t-il l’effigie ? Et la légende ? » -- « De César », répondirent-ils. Alors il leur dit : « Eh bien ! rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »

Ainsi ils ne purent prendre en défaut sa parole devant le peuple et, tout surpris de sa réponse, ils gardèrent le silence.

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