Voir plan                                                                 

Voir synopse des textes

Numéro précédent

Numéro suivant

187. Le figuier desséché. Le surlendemain de l’entrée

Matthieu 21,18-22 ; Marc 11,20-26

Comme il rentrait en ville de bon matin il eut faim. Apercevant un figuier près du chemin, il s’en approcha, mais n’y trouva rien que des feuilles. Il lui dit alors : « Jamais plus tu ne porteras de fruit ! » Et à l’instant même le figuier devint sec. A cette vue les disciples dirent tout étonnés : « Comment, en un instant, le figuier est-il devenu sec ? »

Repassant au matin ils virent le figuier desséché jusqu’à la racine. Et Pierre, se ressouvenant, dit à Jésus : « Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit est desséché. »

En réponse Jésus leur dit : « Ayez foi en Dieu. En vérité je vous le dis, si vous avez une foi qui n’hésite point, non seulement vous ferez ce que je viens de faire au figuier, mais même si vous dites à cette montagne, si quelqu’un dit à cette montagne : ‘Soulève-toi et jette-toi dans la mer’, et s’il n’hésite pas dans son cœur, mais croit que ce qu’il dit va arriver, cela se fera, cela lui sera accordé. C’est pourquoi je vous dis : tout ce que vous demanderez en priant, dans une prière pleine de foi, vous l’obtiendrez, croyez que vous l’avez déjà reçu et cela vous sera accordé. 

« Et quand vous êtes debout en prière, si vous avez quelque chose contre quelqu’un, pardonnez, afin que votre Père qui est dans les cieux vous pardonne aussi vos offenses. Mais si vous ne pardonnez pas, votre Père qui est dans les cieux ne vous pardonnera pas non plus vos offenses. »

Retour à l’en-tête