(Matthieu 18,12-14) ; Luc 15,4-7
« A votre avis, lequel d’entre vous s’il a cent brebis et vient à en perdre une, si un homme possède cent brebis et qu’une d’elles vienne à s’égarer, n’abandonne les quatre-vingt-dix-neuf autres, ne va-t-il pas laisser les quatre-vingt-dix-neuf autres dans les montagnes, dans le désert, pour partir à la recherche de celle qui est égarée, jusqu’à ce qu’il l’ait retrouvée ? Et, s’il parvient à la retrouver, quand il l’a retrouvée, en vérité je vous le dis, il la met tout joyeux sur ses épaules et, de retour chez lui, il assemble amis et voisins et leur dit : ‘Réjouissez-vous avec moi, car je l’ai retrouvée, ma brebis qui s’était perdue !’ C’est ainsi, je vous le dis, qu’il tire plus de joie d’elle que des quatre-vingt-dix-neuf autres qui ne se sont pas égarées. Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de repentir. « De même on ne veut pas, chez votre Père qui est aux cieux, qu’un seul de ces petits se perde. » |